formularioHidden
formularioRDF
Login

 

Buscar en La Rioja Turismo close

EMPIEZA A TECLEAR...

TU BÚSQUEDA NO HA OBTENIDO NINGÚN RESULTADO.

Panel Information

Cookies no aceptadas

Voir et à faire

facetas
filter_listFiltrar

visualisation

19 résultats

...

Alfaro

La façade en briques, chef-d'œuvre du baroque aragonais de la fin du 17e siècle, se dresse sur la place d'Espagne, en haut d'un long escalier courbe. Elle est flanquée de deux clochers hauts de 50 m. Entre les deux, un corps central. La partie basse est divisée par deux grands pilastres.

Entre les pilastres, trois larges arcades abritent les portails monumentaux, correspondant à la nef principale et aux deux nefs latérales. La partie centrale est une galerie constituée de neuf arcs en plein cintre. L'ensemble constitue la façade principale.

Les clochers sont constitués de quatre corps de diamètres décroissants de bas en haut, les trois premiers étant carrés et le quatrième octogonal. Sur chaque corps, trois et huit pilastres respectivement forment des ouvertures terminées par des arcs en plein cintre. Les clochers sont terminés par des chapiteaux.

L'intérieur, rectangulaire, comprend trois nefs de hauteur égale, séparées par des rangs de colonnes en briques. Les arcs doubleaux qui soutiennent les voûtes s'appuient sur les colonnes et sur les murs. Entre les contreforts, une longue série de chapelles consacrées à Nuestra Señora del Rosario (chevet), San José de los Desposorios de Nuestra Señora, San Joaquín et Santa Ana, Santo Entierro, San Esteban, San Juan Bautista, Niño Jesús, Amor Hermoso, Animas, San Roque (avec une belle sculpture baroque de San Roque) y de la famille Araciel (remarquer un magnifique buste de la Dolorosa, à la facture délicate et très expressive).

Mention spéciale :

- Coro : on y accède par une très belle grille monumentale en fer forgé, de style baroque, signée Sebastián de Medina. Construite en bois de noyer, elle est richement décorée. Deux séries de saints et saintes sont alignées dans l'ordre des litanies en deux rangées de stalles : la rangée du haut comprend 18 places plus la chaire de l'abbé alors que celle du bas a 13 places plus la chaise du semainier. Chef-d’œuvre signé du sculpteur Rubalcaba.

- Grand retable de San Miguel Arcángel. Retable-tabernacle en forme de grand ostensoir de procession baroque. L'ensemble est couronné par une belle statue du patron de l'église, signée Gregorio Fernández.

- - Sacristie. Des pièces de grande valeur y sont conservées. Parmi elles, un crucifix en ivoire, de style baroque et du 17e siècle, sur socle d'ébène et détails en argent.

Alfaro

La façade en briques, chef-d'œuvre du baroque aragonais de la fin du 17e siècle, se dresse sur la place d'Espagne, en haut d'un long escalier courbe. Elle est flanquée de deux clochers hauts de 50 m. Entre les deux, un corps central. La partie basse est divisée par deux grands pilastres.

Entre les pilastres, trois larges arcades abritent les portails monumentaux, correspondant à la nef principale et aux deux nefs latérales. La partie centrale est une galerie constituée de neuf arcs en plein cintre. L'ensemble constitue la façade principale.

Les clochers sont constitués de quatre corps de diamètres décroissants de bas en haut, les trois premiers étant carrés et le quatrième octogonal. Sur chaque corps, trois et huit pilastres respectivement forment des ouvertures terminées par des arcs en plein cintre. Les clochers sont terminés par des chapiteaux.

L'intérieur, rectangulaire, comprend trois nefs de hauteur égale, séparées par des rangs de colonnes en briques. Les arcs doubleaux qui soutiennent les voûtes s'appuient sur les colonnes et sur les murs. Entre les contreforts, une longue série de chapelles consacrées à Nuestra Señora del Rosario (chevet), San José de los Desposorios de Nuestra Señora, San Joaquín et Santa Ana, Santo Entierro, San Esteban, San Juan Bautista, Niño Jesús, Amor Hermoso, Animas, San Roque (avec une belle sculpture baroque de San Roque) y de la famille Araciel (remarquer un magnifique buste de la Dolorosa, à la facture délicate et très expressive).

Mention spéciale :

- Coro : on y accède par une très belle grille monumentale en fer forgé, de style baroque, signée Sebastián de Medina. Construite en bois de noyer, elle est richement décorée. Deux séries de saints et saintes sont alignées dans l'ordre des litanies en deux rangées de stalles : la rangée du haut comprend 18 places plus la chaire de l'abbé alors que celle du bas a 13 places plus la chaise du semainier. Chef-d’œuvre signé du sculpteur Rubalcaba.

- Grand retable de San Miguel Arcángel. Retable-tabernacle en forme de grand ostensoir de procession baroque. L'ensemble est couronné par une belle statue du patron de l'église, signée Gregorio Fernández.

- - Sacristie. Des pièces de grande valeur y sont conservées. Parmi elles, un crucifix en ivoire, de style baroque et du 17e siècle, sur socle d'ébène et détails en argent.

...

Haro

Construction en hommage à l'apôtre saint Thomas. Classée Bien d'Intérêt Culturel le 4 juin 1931. Située au pied de la butte de La Mota, noyau primitif de la ville appelé aujourd'hui « La Atalaya », elle a été construite sous la protection des Connétables de Castille.

Sur un ancien bâtiment en pierre de taille. Sur plan de salon ou « hallen kirche » allemand, elle possède trois nefs de la même hauteur sans transept, coiffées de quinze coupoles en étoile et plusieurs arcs géométriques sur des arcs brisés et des colonnes et des pilastres adossées.

Remarquer, à l'intérieur, le chœur et le retable. Dans le coro, on admirera les stalles de la fin du 17e siècle et les orgues de 1798 construites par Domingo Garagalza. Le grand retable du maître-autel est le plus grand de La Rioja. Datant de 1730, il est conçu en bois polychrome richement décorée, manifestant une évidente horreur du vide ou « Horror Vacui ».

À l'extérieur, beau portail principal sous un arc décoré de scènes du Calvaire et statuaire des apôtres et du Père éternel, à côté des armes des Velasco. Il s'agit d'une œuvre plateresque signée Felipe Vigarny, l'un des plus remarquables sculpteurs de la Renaissance espagnole. Restaurée en 1999, la décoration à base de candelieri, modillons grotesques et guirlandes en pierre introduit dans la Rioja un nouveau style sculptural de style Renaissance italien. Le passage de l'ancienne église à l'église actuelle est représenté de manière structurelle, comme un arc de triomphe.

Cependant, l'élément le plus extraordinaire de cette construction reste son clocher, qui a inspiré bien d'autres comme celles de Santa María la Redonda de Logroño (1742) ou de la cathédrale de Santo Domingo de la Calzada (1765). La partie inférieure, gothique et carrée, fut conçue par Juan de Raón en 1671. La partie supérieure, baroque, est signée Agustín Ruiz de Azcárraga. Datée de 1720, elle possède un corps octogonal couronné d'une coupole avec lanterne.

Haro

Construction en hommage à l'apôtre saint Thomas. Classée Bien d'Intérêt Culturel le 4 juin 1931. Située au pied de la butte de La Mota, noyau primitif de la ville appelé aujourd'hui « La Atalaya », elle a été construite sous la protection des Connétables de Castille.

Sur un ancien bâtiment en pierre de taille. Sur plan de salon ou « hallen kirche » allemand, elle possède trois nefs de la même hauteur sans transept, coiffées de quinze coupoles en étoile et plusieurs arcs géométriques sur des arcs brisés et des colonnes et des pilastres adossées.

Remarquer, à l'intérieur, le chœur et le retable. Dans le coro, on admirera les stalles de la fin du 17e siècle et les orgues de 1798 construites par Domingo Garagalza. Le grand retable du maître-autel est le plus grand de La Rioja. Datant de 1730, il est conçu en bois polychrome richement décorée, manifestant une évidente horreur du vide ou « Horror Vacui ».

À l'extérieur, beau portail principal sous un arc décoré de scènes du Calvaire et statuaire des apôtres et du Père éternel, à côté des armes des Velasco. Il s'agit d'une œuvre plateresque signée Felipe Vigarny, l'un des plus remarquables sculpteurs de la Renaissance espagnole. Restaurée en 1999, la décoration à base de candelieri, modillons grotesques et guirlandes en pierre introduit dans la Rioja un nouveau style sculptural de style Renaissance italien. Le passage de l'ancienne église à l'église actuelle est représenté de manière structurelle, comme un arc de triomphe.

Cependant, l'élément le plus extraordinaire de cette construction reste son clocher, qui a inspiré bien d'autres comme celles de Santa María la Redonda de Logroño (1742) ou de la cathédrale de Santo Domingo de la Calzada (1765). La partie inférieure, gothique et carrée, fut conçue par Juan de Raón en 1671. La partie supérieure, baroque, est signée Agustín Ruiz de Azcárraga. Datée de 1720, elle possède un corps octogonal couronné d'une coupole avec lanterne.

...

Logroño

L'église San Bartolomé est la plus ancienne de Logroño. Construite en pierre de taille, elle conserve du 12e siècle le plan, l'abside centrale semi-circulaire et la décoration des chapiteaux propre aux églises du Chemin. À noter le portail gothique, ogival, soigneusement ornementé. La tour-clocher, intégrée dans la muraille, faisait donc partie du système défensif de la ville et a été relevée au fur et à mesure que la ville grandissait. Ainsi, si les deux premiers corps sont en pierre de taille, comme l'église et la muraille, les deux suivants sont en pierre décorée de petits azulejos (carreaux) mozarabes.

Logroño

L'église San Bartolomé est la plus ancienne de Logroño. Construite en pierre de taille, elle conserve du 12e siècle le plan, l'abside centrale semi-circulaire et la décoration des chapiteaux propre aux églises du Chemin. À noter le portail gothique, ogival, soigneusement ornementé. La tour-clocher, intégrée dans la muraille, faisait donc partie du système défensif de la ville et a été relevée au fur et à mesure que la ville grandissait. Ainsi, si les deux premiers corps sont en pierre de taille, comme l'église et la muraille, les deux suivants sont en pierre décorée de petits azulejos (carreaux) mozarabes.

...

Logroño

L'église Santiago el Real constitue une halte de pèlerins. Datée du 16e siècle, c'est l'église la plus liée à la ville car c'est là que se réunissait le Conseil Municipal et où étaient conservées les archives. La façade, en forme d'arc de triomphe (17e s.) est ornée de deux statues du saint, l'une en habits de pèlerin et l'autre comme Saint-Jacques pourfendeur de maures.

À côté de l'église, voici la fontaine Santiago, également appelée « fontaine des pèlerins » car ceux-ci s'y arrêtaient volontiers pour se rafraîchir et se reposer.

Logroño

L'église Santiago el Real constitue une halte de pèlerins. Datée du 16e siècle, c'est l'église la plus liée à la ville car c'est là que se réunissait le Conseil Municipal et où étaient conservées les archives. La façade, en forme d'arc de triomphe (17e s.) est ornée de deux statues du saint, l'une en habits de pèlerin et l'autre comme Saint-Jacques pourfendeur de maures.

À côté de l'église, voici la fontaine Santiago, également appelée « fontaine des pèlerins » car ceux-ci s'y arrêtaient volontiers pour se rafraîchir et se reposer.

filter_list

Filtrar

close

Trouvez

facetas