Voir et à faire
Catedral de Santa María Calahorra
tipo de documento Endroits visitables
Elle se trouve en bordure de la ville, sur les berges de la Cidacos, flanquée par le Palais Épiscopal et la promenade de las Bolas.
Les origines. À ce même endroit, plusieurs églises se sont succédées. Sur la dernière est entreprise la construction actuelle, de la fin du 15e siècle, terminée en 1900 par l'installation du retable du maître-autel, le précédent ayant brûlé lors de l'incendie du 13 juin 1900. Un ample parvis précède la cathédrale. Une rose des vents trône au centre du parvis.
La façade,œuvre des frères Raón de la fin du XVIIIe siècle, est baroque pour certains, néoclassique pour d'autres. Elle est conçue comme un retable à trois corps terminé en fronton triangulaire.
Pour y entrer, il faut descendre quelques marches, peut-être parce que les églises précédentes avaient leur porte d'entrée au ras de la rivière. Lors des grandes crues de la Cidacos, la cathédrale devait être inondée ce qui, joint à la construction de la route ou du pont, explique peut-être que les portes aient été surélevées comme mesure de protection. Depuis lors, des escaliers donnent accès à l'intérieur.
Dès cette entrée dans la cathédrale, vous vous retrouvez devant le retable des Rois, de style rococo. Il comporte un corps, trois panneaux et un attique. Le médaillon de l'Adoration des Rois Mages, le relief de San Jerónimo et le Cristo de la Agonía (qui sort en procession à Pâques) sont des œuvres de Bazcardo.
Elle se trouve en bordure de la ville, sur les berges de la Cidacos, flanquée par le Palais Épiscopal et la promenade de las Bolas.
Les origines. À ce même endroit, plusieurs églises se sont succédées. Sur la dernière est entreprise la construction actuelle, de la fin du 15e siècle, terminée en 1900 par l'installation du retable du maître-autel, le précédent ayant brûlé lors de l'incendie du 13 juin 1900. Un ample parvis précède la cathédrale. Une rose des vents trône au centre du parvis.
La façade,œuvre des frères Raón de la fin du XVIIIe siècle, est baroque pour certains, néoclassique pour d'autres. Elle est conçue comme un retable à trois corps terminé en fronton triangulaire.
Pour y entrer, il faut descendre quelques marches, peut-être parce que les églises précédentes avaient leur porte d'entrée au ras de la rivière. Lors des grandes crues de la Cidacos, la cathédrale devait être inondée ce qui, joint à la construction de la route ou du pont, explique peut-être que les portes aient été surélevées comme mesure de protection. Depuis lors, des escaliers donnent accès à l'intérieur.
Dès cette entrée dans la cathédrale, vous vous retrouvez devant le retable des Rois, de style rococo. Il comporte un corps, trois panneaux et un attique. Le médaillon de l'Adoration des Rois Mages, le relief de San Jerónimo et le Cristo de la Agonía (qui sort en procession à Pâques) sont des œuvres de Bazcardo.
Concatedral de Santa María de la Redonda
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La concathédrale de Santa María de la Redonda, construite sur un oratoire du 12e siècle, donne sur l'une des principales artères de la ville, la rue Portales. Entreprise au 15e siècle, elle a connu divers agrandissements et remaniements jusqu'au 18e siècle. Sa façade principale, construite comme un retable, est close par une grande grille en fer forgé. Les tours, surnommées « les Jumelles », caractéristiques du baroque régional, sont parentes d'autres clochers de La Rioja signés du même architecte : Martín de Beratúa.
Ses trois nefs, séparées par de grandes colonnes cylindriques, s'achèvent sur un déambulatoire. Parmi ses éléments les plus représentatifs, citons une Crucifixion attribuée à Michel-Ange ; le sépulcre du général Espartero et de sa femme, Jacinta Martínez de Sicilia ; les grilles qui ferment les chapelles latérales, exceptionnelles par leur travail de forge et de sculpture ; et le Santo Sepulcro de la chapelle Nuestra Señora de los Ángeles, élaboré en écaille, filigrane d'argent et bois.
La concathédrale de Santa María de la Redonda, construite sur un oratoire du 12e siècle, donne sur l'une des principales artères de la ville, la rue Portales. Entreprise au 15e siècle, elle a connu divers agrandissements et remaniements jusqu'au 18e siècle. Sa façade principale, construite comme un retable, est close par une grande grille en fer forgé. Les tours, surnommées « les Jumelles », caractéristiques du baroque régional, sont parentes d'autres clochers de La Rioja signés du même architecte : Martín de Beratúa.
Ses trois nefs, séparées par de grandes colonnes cylindriques, s'achèvent sur un déambulatoire. Parmi ses éléments les plus représentatifs, citons une Crucifixion attribuée à Michel-Ange ; le sépulcre du général Espartero et de sa femme, Jacinta Martínez de Sicilia ; les grilles qui ferment les chapelles latérales, exceptionnelles par leur travail de forge et de sculpture ; et le Santo Sepulcro de la chapelle Nuestra Señora de los Ángeles, élaboré en écaille, filigrane d'argent et bois.
Catedral de Santo Domingo de la Calzada
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La cathédrale est un bel exemple d'architecture protogothique. Organisée comme une église de pèlerinage classique, elle possède trois nefs, dont une nef centrale plus haute et deux fois plus large, traversée d’un transept et terminée par un déambulatoire sur lequel s’ouvraient probablement, à l’origine, trois chapelles absidiales. Au début du 12e siècle, le temple est agrandi et devient une église-forteresse, unique exemple de cette architecture que nous pouvons contempler dans la Rioja. Le grand retable, joyau de la sculpture Renaissance espagnole, est signé Damián Forment. La cathédrale conserve un chevet roman et des chapiteaux historiés du 12e siècle, dont un David tout raide en roi-chantre.
À l’intérieur, on remarquera le poulailler où vivent en permanence une poule et un coq blancs, en souvenir du miracle du pèlerin pendu.
Les horaires et tarifs ici https://catedralsantodomingo.org/tarifas-elementor
La cathédrale est un bel exemple d'architecture protogothique. Organisée comme une église de pèlerinage classique, elle possède trois nefs, dont une nef centrale plus haute et deux fois plus large, traversée d’un transept et terminée par un déambulatoire sur lequel s’ouvraient probablement, à l’origine, trois chapelles absidiales. Au début du 12e siècle, le temple est agrandi et devient une église-forteresse, unique exemple de cette architecture que nous pouvons contempler dans la Rioja. Le grand retable, joyau de la sculpture Renaissance espagnole, est signé Damián Forment. La cathédrale conserve un chevet roman et des chapiteaux historiés du 12e siècle, dont un David tout raide en roi-chantre.
À l’intérieur, on remarquera le poulailler où vivent en permanence une poule et un coq blancs, en souvenir du miracle du pèlerin pendu.
Les horaires et tarifs ici https://catedralsantodomingo.org/tarifas-elementor
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