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PALACIO FORTIFICADO DE AGUAS MANSAS, EN AGONCILLO
tipo de documento Endroits visitables
Plan quadrangulaire irrégulier, flanqué de quatre grosses tours aux angles, avec un patio aux colonnes toscanes et un réservoir d'eau. Siège de la mairie d'Agoncillo.
Époque : 14e et 16e siècles
Propriété :municipale
Visites :renseignements au +34 941 431 007/ 638 989 240
Plan quadrangulaire irrégulier, flanqué de quatre grosses tours aux angles, avec un patio aux colonnes toscanes et un réservoir d'eau. Siège de la mairie d'Agoncillo.
Époque : 14e et 16e siècles
Propriété :municipale
Visites :renseignements au +34 941 431 007/ 638 989 240
Museo Würth La Rioja
tipo de documento Endroits visitables
Le Musée Würth a été conçu pour accueillir l'art contemporain international d'avant-garde des 20e et 21e siècles. C'est ici que seront exposées les œuvres appartenant au fonds artistique propre de Würth Espagne, ainsi que celles de la Collection Würth venant d'Allemagne, considérée comme étant l'une des principales collections d'Europe et constituée grâce à l'initiative du Professeur Dr.h.c. Reinhold Würth depuis les années 60.
Entrez découvrir les expositions actuelles.
Le Musée Würth a été conçu pour accueillir l'art contemporain international d'avant-garde des 20e et 21e siècles. C'est ici que seront exposées les œuvres appartenant au fonds artistique propre de Würth Espagne, ainsi que celles de la Collection Würth venant d'Allemagne, considérée comme étant l'une des principales collections d'Europe et constituée grâce à l'initiative du Professeur Dr.h.c. Reinhold Würth depuis les années 60.
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Castillo roquero de Aguilar del Río Alhama
tipo de documento Endroits visitables
Époque :12e siècle
Propriété :municipale
Visites :non
Époque :12e siècle
Propriété :municipale
Visites :non
Celtíberos en Contrebia Leucade
tipo de documento Endroits visitables
Voici l'une des installations humaines les plus anciennes de la Rioja, située sur la rive droite de l'Alhama, près d'Inestrillas et d'Aguilar del Río Alhama, entre deux petites collines. Les restes les plus anciens correspondent à un enterrement, de la fin du seconde millénaire av. J.-C. La grotte des Lacs a révélé des restes humains et des fragments de poterie de la fin de l'âge du Bronze.
La tribu de Pelendones occupe Contrebia Leukade à l'âge du Fer. Ils construisent une fortification en profitant de l'escarpement rocheux sur la rivière. Ils réalisent des terrassements et creusent des habitations de plan rectangulaire dans la roche.
Vers la seconde moitié du 4e s. avant notre ère, d'autres tribus celtibères agrandissent le site et renforcent le système défensif en creusant un profond fossé dans la roche et en entourant le site d'une muraille. Ils effectuent divers aménagements pour s'approvisionner en eau potable. Puis vinrent les Romains, qui conquirent la ville en l'an 142 av. JC, lors de romanisation des terres de l'Alhama.
De nos jours, le site archéologique reste l'un des plus spectaculaires de la Péninsule et le plus parlant pour connaître le degré de développement technique et d'organisation des Celtibères.
LE SYSTÈME DE DÉFENSE
Le creusement du fossé de près de 700 m de long et 8 m de profondeur a supposé l'extraction de plus de 40 000 mètres cubes de pierre qui serviront à la construction de la muraille. Depuis les dernières fouilles, tout le tracé de celle-ci, dont il ne reste que quelques pans, peut être suivi. Les fragments qui restent debout montrent les signes de réparations dont la chronologie reste à préciser.
Les vestiges les plus anciens se trouvent à l'extrémité Est, à l'endroit le plus élevé du site. La muraille qui ferme le côté nord, le plus bas de la ville et proche de la rivière, diffère du reste tant par sa typologie que par sa technique. Elle présente six clochers semi-circulaires, dont deux flanquent une porte, où prédomine la pierre calcaire bien taillée et disposée. La construction, en retrait de plusieurs mètres par rapport à la muraille celtibère, date de la fin du 1er ou du 2e siècle de notre ère.
URBANISME
L'aménagement intérieur de la ville est adapté au relief irrégulier du site. Les maisons sont disposées en rang le long de rues bien tracées en suivant les courbes de niveau. De plan rectangulaire, elles comportent plusieurs pièces disposées longitudinalement.
Les plus complètes comportaient trois espaces : un vestibule servant à des fins accessoires comme le rangement de bois et d'outils agricoles, l'installation du métier à tisser ou le stockage de produits périssables, une pièce principale, avec le foyer disposé légèrement en hauteur et un cellier de dimensions variables, qui, souvent, est développé en profondeur pour former de vastes espaces souterrains au plafond à double pan. Indistinctement, soit dans le vestibule, soit dans la pièce principale, mais presque toujours dans leur zone de contact, il existe un ou deux réservoirs creusés dans la roche et enduits de plâtre qui étaient couverts par un couvercle en bois.
La conservation d'une part importante de l'élévation des murs creusés dans la roche, ainsi que des mortaises où s'encastraient les poutres, a révélé que certaines maisons avaient plusieurs étages, compensant ainsi la faible emprise au sol par un grand développement en hauteur.
Normalement, les sols des maisons étaient en terre battue, régulièrement reprise et couverte d'une nouvelle couche. Mais à une époque plus avancée, sous la domination romaine, des pavements spéciaux en mosaïques décorées de motifs géométriques, d'animaux et de plantes schématisées, ont fait leur apparition.
OUVRAGES D'APPROVISIONNEMENT EN EAU
Pour assurer un approvisionnement permanent et abondant en eau sans dépendre de l'extérieur, les habitants de Contrebia réalisèrent deux ouvrages sans équivalent dans le monde celtibère. Il s'agit de deux accès qui relient l'intérieur de la ville et le réseau phréatique de l'Alhama. Celui qui se trouve le plus au Sud donnait sur la grotte dite des Lacs et son entrée, ainsi que ses premiers mètres, ont été conservés. Quant au second, il s'agit d'un puits creusé dans la roche, auquel on peut accéder de l'intérieur de la ville par un escalier également taillé dans la roche et en partie voûté.
Deux phases ont marqué sa construction ; au départ, il s'agissait d'une citerne alimentée par un petit conduit prélevant de l'eau de l'Alhama. Mais cette dépendance de l'extérieur facilitait, aux époques de siège, l'interruption de l'approvisionnement, ce qui entraîna une reconstruction approfondissant l'ensemble, soit les escaliers d'accès et la citerne, jusqu'à atteindre le niveau phréatique de la rivière afin de maintenir constant l'approvisionnement sans dépendre de l'extérieur.
Pour en savoir plus sur Contrebia Leukade, vous pouvez visiter son Centre d'Interprétation à Aguilar del Río Alhama ou www.contrebialeucade.com
Voici l'une des installations humaines les plus anciennes de la Rioja, située sur la rive droite de l'Alhama, près d'Inestrillas et d'Aguilar del Río Alhama, entre deux petites collines. Les restes les plus anciens correspondent à un enterrement, de la fin du seconde millénaire av. J.-C. La grotte des Lacs a révélé des restes humains et des fragments de poterie de la fin de l'âge du Bronze.
La tribu de Pelendones occupe Contrebia Leukade à l'âge du Fer. Ils construisent une fortification en profitant de l'escarpement rocheux sur la rivière. Ils réalisent des terrassements et creusent des habitations de plan rectangulaire dans la roche.
Vers la seconde moitié du 4e s. avant notre ère, d'autres tribus celtibères agrandissent le site et renforcent le système défensif en creusant un profond fossé dans la roche et en entourant le site d'une muraille. Ils effectuent divers aménagements pour s'approvisionner en eau potable. Puis vinrent les Romains, qui conquirent la ville en l'an 142 av. JC, lors de romanisation des terres de l'Alhama.
De nos jours, le site archéologique reste l'un des plus spectaculaires de la Péninsule et le plus parlant pour connaître le degré de développement technique et d'organisation des Celtibères.
LE SYSTÈME DE DÉFENSE
Le creusement du fossé de près de 700 m de long et 8 m de profondeur a supposé l'extraction de plus de 40 000 mètres cubes de pierre qui serviront à la construction de la muraille. Depuis les dernières fouilles, tout le tracé de celle-ci, dont il ne reste que quelques pans, peut être suivi. Les fragments qui restent debout montrent les signes de réparations dont la chronologie reste à préciser.
Les vestiges les plus anciens se trouvent à l'extrémité Est, à l'endroit le plus élevé du site. La muraille qui ferme le côté nord, le plus bas de la ville et proche de la rivière, diffère du reste tant par sa typologie que par sa technique. Elle présente six clochers semi-circulaires, dont deux flanquent une porte, où prédomine la pierre calcaire bien taillée et disposée. La construction, en retrait de plusieurs mètres par rapport à la muraille celtibère, date de la fin du 1er ou du 2e siècle de notre ère.
URBANISME
L'aménagement intérieur de la ville est adapté au relief irrégulier du site. Les maisons sont disposées en rang le long de rues bien tracées en suivant les courbes de niveau. De plan rectangulaire, elles comportent plusieurs pièces disposées longitudinalement.
Les plus complètes comportaient trois espaces : un vestibule servant à des fins accessoires comme le rangement de bois et d'outils agricoles, l'installation du métier à tisser ou le stockage de produits périssables, une pièce principale, avec le foyer disposé légèrement en hauteur et un cellier de dimensions variables, qui, souvent, est développé en profondeur pour former de vastes espaces souterrains au plafond à double pan. Indistinctement, soit dans le vestibule, soit dans la pièce principale, mais presque toujours dans leur zone de contact, il existe un ou deux réservoirs creusés dans la roche et enduits de plâtre qui étaient couverts par un couvercle en bois.
La conservation d'une part importante de l'élévation des murs creusés dans la roche, ainsi que des mortaises où s'encastraient les poutres, a révélé que certaines maisons avaient plusieurs étages, compensant ainsi la faible emprise au sol par un grand développement en hauteur.
Normalement, les sols des maisons étaient en terre battue, régulièrement reprise et couverte d'une nouvelle couche. Mais à une époque plus avancée, sous la domination romaine, des pavements spéciaux en mosaïques décorées de motifs géométriques, d'animaux et de plantes schématisées, ont fait leur apparition.
OUVRAGES D'APPROVISIONNEMENT EN EAU
Pour assurer un approvisionnement permanent et abondant en eau sans dépendre de l'extérieur, les habitants de Contrebia réalisèrent deux ouvrages sans équivalent dans le monde celtibère. Il s'agit de deux accès qui relient l'intérieur de la ville et le réseau phréatique de l'Alhama. Celui qui se trouve le plus au Sud donnait sur la grotte dite des Lacs et son entrée, ainsi que ses premiers mètres, ont été conservés. Quant au second, il s'agit d'un puits creusé dans la roche, auquel on peut accéder de l'intérieur de la ville par un escalier également taillé dans la roche et en partie voûté.
Deux phases ont marqué sa construction ; au départ, il s'agissait d'une citerne alimentée par un petit conduit prélevant de l'eau de l'Alhama. Mais cette dépendance de l'extérieur facilitait, aux époques de siège, l'interruption de l'approvisionnement, ce qui entraîna une reconstruction approfondissant l'ensemble, soit les escaliers d'accès et la citerne, jusqu'à atteindre le niveau phréatique de la rivière afin de maintenir constant l'approvisionnement sans dépendre de l'extérieur.
Pour en savoir plus sur Contrebia Leukade, vous pouvez visiter son Centre d'Interprétation à Aguilar del Río Alhama ou www.contrebialeucade.com
Centro de Interpretación de Contrebia Leucade
tipo de documento Endroits visitables
Le centre d'interprétation de Contrebia Leucade présente une exposition qui, au fil des salles, recrée sur un mode attrayant et suggestif, une ville appartenant à un monde celtibère chargé de symbolisme. Vie quotidienne, coutumes, fonction militaire et stratégique, rêves et impressions de ses constructeurs et de ses habitants.
En cinq tableaux, l'expo propose une vision de la ville celtibère : le site physique, l'histoire, l'architecture militaire, les maisons, la nature animiste, les habitants, les histoires... Ainsi, le visiteur est plongé dans l'ambiance d'une époque où cette zone de La Rioja et ses habitants constituaient un pôle attrayant et imaginaire du monde celtibère.
Le centre d'interprétation de Contrebia Leucade présente une exposition qui, au fil des salles, recrée sur un mode attrayant et suggestif, une ville appartenant à un monde celtibère chargé de symbolisme. Vie quotidienne, coutumes, fonction militaire et stratégique, rêves et impressions de ses constructeurs et de ses habitants.
En cinq tableaux, l'expo propose une vision de la ville celtibère : le site physique, l'histoire, l'architecture militaire, les maisons, la nature animiste, les habitants, les histoires... Ainsi, le visiteur est plongé dans l'ambiance d'une époque où cette zone de La Rioja et ses habitants constituaient un pôle attrayant et imaginaire du monde celtibère.
Fortificación rupestre de Inestrillas
tipo de documento Endroits visitables
Système défensif du Haut Moyen-Âge, adossé à un escarpement rocheux surplombant la rivière. Tour fortifiée crénelée.
Époque : 12e et 13e siècles.
Propriété : municipale
Visites :entrée libre
Système défensif du Haut Moyen-Âge, adossé à un escarpement rocheux surplombant la rivière. Tour fortifiée crénelée.
Époque : 12e et 13e siècles.
Propriété : municipale
Visites :entrée libre
Visita a la "Almazara Riojana"
tipo de documento Endroits visitables
Fondée en 2008, Almazara Riojana est une entreprise familiale forte d'une longue expérience en oléiculture qui se consacre à la production d'huile d'olive vierge extra de la meilleure qualité. Constituée afin de créer un excellent produit, la société soignent ses processus, de l'arbre à la vente, en passant par la récolte et par la production de l'huile. Sous les marques Oleus et Ecoleus, elle commercialise l'huile qu'elle produit en deux catégories : conventionnelle et biologique. Protégée par une appellation d'origine contrôlée, elle est principalement vendue sur le marché gourmet. En outre, la société Almazara Riojana assure une prestation de services en conseil et en entretien de propriétés oléicoles.
Fondée en 2008, Almazara Riojana est une entreprise familiale forte d'une longue expérience en oléiculture qui se consacre à la production d'huile d'olive vierge extra de la meilleure qualité. Constituée afin de créer un excellent produit, la société soignent ses processus, de l'arbre à la vente, en passant par la récolte et par la production de l'huile. Sous les marques Oleus et Ecoleus, elle commercialise l'huile qu'elle produit en deux catégories : conventionnelle et biologique. Protégée par une appellation d'origine contrôlée, elle est principalement vendue sur le marché gourmet. En outre, la société Almazara Riojana assure une prestation de services en conseil et en entretien de propriétés oléicoles.
Centro de Valorización de Las Castañas
tipo de documento Endroits visitables
Petit centre d'interprétation sur le châtaignier et son fruit, avec explication de l'évolution, des valeurs et de l'usage de l'arbre et de la châtaigne.
La châtaigne est un fruit de grande tradition dans notre société, de grande valeur nutritive et culturelle mais largement méconnu du point de vue gastronomique.
Ce centre vise à valoriser la châtaigne et à la faire connaître sous tous ses aspects.
Il s'appuie pour cela sur une série de panneaux explicatifs et des dépliants, sur un montage audiovisuel et sur des dégustations de marrons chauds ou de châtaignes transformées en crèmes, liqueurs, etc.
L'espace héberge une petite boutique où sont vendus toutes sortes de produits à base de châtaignes et les ustensiles liés à son utilisation.
Petit centre d'interprétation sur le châtaignier et son fruit, avec explication de l'évolution, des valeurs et de l'usage de l'arbre et de la châtaigne.
La châtaigne est un fruit de grande tradition dans notre société, de grande valeur nutritive et culturelle mais largement méconnu du point de vue gastronomique.
Ce centre vise à valoriser la châtaigne et à la faire connaître sous tous ses aspects.
Il s'appuie pour cela sur une série de panneaux explicatifs et des dépliants, sur un montage audiovisuel et sur des dégustations de marrons chauds ou de châtaignes transformées en crèmes, liqueurs, etc.
L'espace héberge une petite boutique où sont vendus toutes sortes de produits à base de châtaignes et les ustensiles liés à son utilisation.
Centro de Interpretación de los Sotos del Ebro
tipo de documento Endroits visitables
Témoignage de l'exubérante végétation qui accompagne l'Èbre sur tout son parcours, les coteaux, ou sotos, constituent aujourd'hui des réduits privilégiés pour la vie sauvage. Ce qui autrefois formait un vaste et long couloir continu sur les rives de l'Èbre nous apparaît aujourd'hui fragmenté, sous forme de petites enclaves de biodiversité. Recoins de richesse et de diversité.S'enfoncer dans les sotos ou accéder à îles et plages signifie s'introduire dans l'un des écosystèmes les plus riches et divers de notre territoire.
Exposition permanente et projection de présentation de la réserve naturelle Sotos del Ebro, la colonie de cigognes et l'histoire de la ville d'Alfaro.
Pour connaître toutes les activités organisées par le centre cliquez ici.
Témoignage de l'exubérante végétation qui accompagne l'Èbre sur tout son parcours, les coteaux, ou sotos, constituent aujourd'hui des réduits privilégiés pour la vie sauvage. Ce qui autrefois formait un vaste et long couloir continu sur les rives de l'Èbre nous apparaît aujourd'hui fragmenté, sous forme de petites enclaves de biodiversité. Recoins de richesse et de diversité.S'enfoncer dans les sotos ou accéder à îles et plages signifie s'introduire dans l'un des écosystèmes les plus riches et divers de notre territoire.
Exposition permanente et projection de présentation de la réserve naturelle Sotos del Ebro, la colonie de cigognes et l'histoire de la ville d'Alfaro.
Pour connaître toutes les activités organisées par le centre cliquez ici.
Colegiata de San Miguel Arcángel
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La façade en briques, chef-d'œuvre du baroque aragonais de la fin du 17e siècle, se dresse sur la place d'Espagne, en haut d'un long escalier courbe. Elle est flanquée de deux clochers hauts de 50 m. Entre les deux, un corps central. La partie basse est divisée par deux grands pilastres.
Entre les pilastres, trois larges arcades abritent les portails monumentaux, correspondant à la nef principale et aux deux nefs latérales. La partie centrale est une galerie constituée de neuf arcs en plein cintre. L'ensemble constitue la façade principale.
Les clochers sont constitués de quatre corps de diamètres décroissants de bas en haut, les trois premiers étant carrés et le quatrième octogonal. Sur chaque corps, trois et huit pilastres respectivement forment des ouvertures terminées par des arcs en plein cintre. Les clochers sont terminés par des chapiteaux.
L'intérieur, rectangulaire, comprend trois nefs de hauteur égale, séparées par des rangs de colonnes en briques. Les arcs doubleaux qui soutiennent les voûtes s'appuient sur les colonnes et sur les murs. Entre les contreforts, une longue série de chapelles consacrées à Nuestra Señora del Rosario (chevet), San José de los Desposorios de Nuestra Señora, San Joaquín et Santa Ana, Santo Entierro, San Esteban, San Juan Bautista, Niño Jesús, Amor Hermoso, Animas, San Roque (avec une belle sculpture baroque de San Roque) y de la famille Araciel (remarquer un magnifique buste de la Dolorosa, à la facture délicate et très expressive).
Mention spéciale :
- Coro : on y accède par une très belle grille monumentale en fer forgé, de style baroque, signée Sebastián de Medina. Construite en bois de noyer, elle est richement décorée. Deux séries de saints et saintes sont alignées dans l'ordre des litanies en deux rangées de stalles : la rangée du haut comprend 18 places plus la chaire de l'abbé alors que celle du bas a 13 places plus la chaise du semainier. Chef-d’œuvre signé du sculpteur Rubalcaba.
- Grand retable de San Miguel Arcángel. Retable-tabernacle en forme de grand ostensoir de procession baroque. L'ensemble est couronné par une belle statue du patron de l'église, signée Gregorio Fernández.
- - Sacristie. Des pièces de grande valeur y sont conservées. Parmi elles, un crucifix en ivoire, de style baroque et du 17e siècle, sur socle d'ébène et détails en argent.
La façade en briques, chef-d'œuvre du baroque aragonais de la fin du 17e siècle, se dresse sur la place d'Espagne, en haut d'un long escalier courbe. Elle est flanquée de deux clochers hauts de 50 m. Entre les deux, un corps central. La partie basse est divisée par deux grands pilastres.
Entre les pilastres, trois larges arcades abritent les portails monumentaux, correspondant à la nef principale et aux deux nefs latérales. La partie centrale est une galerie constituée de neuf arcs en plein cintre. L'ensemble constitue la façade principale.
Les clochers sont constitués de quatre corps de diamètres décroissants de bas en haut, les trois premiers étant carrés et le quatrième octogonal. Sur chaque corps, trois et huit pilastres respectivement forment des ouvertures terminées par des arcs en plein cintre. Les clochers sont terminés par des chapiteaux.
L'intérieur, rectangulaire, comprend trois nefs de hauteur égale, séparées par des rangs de colonnes en briques. Les arcs doubleaux qui soutiennent les voûtes s'appuient sur les colonnes et sur les murs. Entre les contreforts, une longue série de chapelles consacrées à Nuestra Señora del Rosario (chevet), San José de los Desposorios de Nuestra Señora, San Joaquín et Santa Ana, Santo Entierro, San Esteban, San Juan Bautista, Niño Jesús, Amor Hermoso, Animas, San Roque (avec une belle sculpture baroque de San Roque) y de la famille Araciel (remarquer un magnifique buste de la Dolorosa, à la facture délicate et très expressive).
Mention spéciale :
- Coro : on y accède par une très belle grille monumentale en fer forgé, de style baroque, signée Sebastián de Medina. Construite en bois de noyer, elle est richement décorée. Deux séries de saints et saintes sont alignées dans l'ordre des litanies en deux rangées de stalles : la rangée du haut comprend 18 places plus la chaire de l'abbé alors que celle du bas a 13 places plus la chaise du semainier. Chef-d’œuvre signé du sculpteur Rubalcaba.
- Grand retable de San Miguel Arcángel. Retable-tabernacle en forme de grand ostensoir de procession baroque. L'ensemble est couronné par une belle statue du patron de l'église, signée Gregorio Fernández.
- - Sacristie. Des pièces de grande valeur y sont conservées. Parmi elles, un crucifix en ivoire, de style baroque et du 17e siècle, sur socle d'ébène et détails en argent.
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